À commencer par vous tout à l'heure.
Dites-vous bien que les mots que vous prononcez choquent autant de Français que ceux que nous pourrions éventuellement prononcer. Je ne prétends pas que nous sommes majoritaires, je suis objectif. Admettons qu'il y ait une moitié du pays qui soit pour et une moitié qui soit contre. À chaque fois que vous pratiquez l'arrogance et la dérision, une moitié du pays a le droit de s'étonner et de souffrir des propos que vous tenez.
Je souhaiterais donc que nous poursuivions le débat en argumentant de manière constructive et que vous admettiez que nous puissions être pour le maintien du mariage dans l'expression qui est la sienne dans le code civil. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)