Mais, cinquante ans plus tard, nous devons en assumer les conséquences, tous ensemble : des conséquences environnementales et sanitaires, mais aussi des conséquences sociales très lourdes. À ce titre, nous avons un devoir de mémoire, mais aussi de reconnaissance et de réparation.
Une loi d’indemnisation a certes été votée, mais elle n’est pas efficace. Le Président de la République s’est engagé à faire un acte fort de réparation. Monsieur le Premier ministre, je vous demande, comme à l’ensemble du Gouvernement, de venir confirmer aujourd’hui que ces actes de réparation seront bien au rendez-vous.