Les auditions s'enchaînent et nos frustrations persistent. Alors que le constat est unanimement partagé – il faut parfaire la formation des médecins, la méthodologie du diagnostic, la prise en charge globale des malades et le traitement –, quels verrous empêchent la prise en charge, la reconnaissance de la maladie et son traitement ? Manque-t-il une commande politique ? En ce sens, l'existence de cette commission d'enquête sera-t-elle perçue comme un premier niveau de prise en charge devant conduire à une décision politique pour permettre d'améliorer la reconnaissance sociétale et peut-être financière de la fibromyalgie ?