Qui dispense les formations dont bénéficient les sacrificateurs, s'il ne s'agit ni des mosquées ni de centres de formation spécifiques ? Autrefois, les pratiques se transmettaient de père en fils. L'image de l'abattage sauvage et clandestin est demeurée dans l'opinion publique ; il serait donc utile de réhabiliter l'abattage rituel de ce point de vue, même s'il est légitime de ne pas approuver l'abattage sans étourdissement.
Par ailleurs, j'ai le sentiment, à vous écouter, que les contraintes et les contrôles imposés à l'abattage rituel sont beaucoup plus stricts que pour l'abattage conventionnel. Compte tenu du fait que l'abattage rituel concerne une période particulière, le risque de dérapage existe-t-il et les contrôles sont-ils dûment effectués ?
Le 26/10/2016 à 17:01, laïc a dit :
"le risque de dérapage existe-t-il et les contrôles sont-ils dûment effectués ?"
Le dérapage, c'est l'Etat qui autorise le halal, contre la LAICITE.
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