Je suis tout à fait d'accord avec vous. Sortir de l'isolement les employés d'abattoir peut contribuer, à titre préventif, à leur faire prendre conscience de la nécessité de respecter la législation sur la protection des animaux. Tout à l'heure, je parlais plutôt de l'aspect répressif puisqu'on a pu constater que les visites ne permettaient pas le respect de la législation. Mais encore une fois, les volets préventif et répressif ne s'excluent pas ; d'une manière générale, on les associe. L'erreur serait de ne s'en tenir qu'à un seul des deux : l'aspect répressif seul n'empêchera pas les maltraitances s'il n'y a pas de prise de conscience des employés ; l'aspect strictement préventif ne permettrait pas cette prise de conscience non plus.