Je crois que le président Clemenceau disait également qu'un vrai homme politique s'occupe aussi des animaux.
Ma conclusion sera simple. Il me semble que finalement, c'est une affaire de moyens, car la réglementation existe. Cela se résume à peu de choses : si l'on veut vraiment, on peut. Cela ne me semble pas insurmontable. L'abattoir n'est pas un lieu irrémédiablement voué à la maltraitance. Comme l'énonce la Déclaration universelle des droits de l'animal, si la mise à mort d'un animal est nécessaire, elle doit être instantanée, indolore et non génératrice d'angoisse. C'est parfaitement possible mais il faut le vouloir.