Comme vient de le dire l'orateur précédent, force est de constater que vous vous entêtez à faire comprendre que la loi doit suivre les évolutions sociétales. Vous placez vos idées au rang de valeurs universelles, vous les imposez aux autres pays. C'est là votre credo et vous défendez toujours et encore le primat de l'individu sur le groupe.
Vous conviendrez toutefois qu'une autre réflexion peut exister : celle qui évite de heurter certaines consciences, celle qui privilégie le lien social et la cohésion sociale dans un climat de délitement sociétal. Je demande donc, à l'instar de mes collègues, la suppression de cet alinéa.