…pour siéger au banc du Gouvernement. On ne peut pas dire que les dépenses des ministères n’ont pas contribué à la maîtrise de la dépense publique.
Vous êtes nombreux à avoir évoqué la dette. Je souhaite m’y arrêter un instant et développer deux points.
Je reviens tout d’abord sur ces fameuses primes d’émission, qui opéreraient un « maquillage budgétaire » de la dette – vous n’avez pas utilisé les mêmes mots que la dernière fois, madame Dalloz. De quoi s’agit-il, mesdames et messieurs les députés ? J’ai déjà eu l’occasion de le dire : en matière de finances, rien ne se perd, rien ne se crée.