L’action de groupe visant à faciliter la réparation des préjudices subis par les victimes d’un manquement, elle est conçue pour permettre des réparations individuelles, non pour défendre des intérêts collectifs. C’est pourquoi l’article 20 précise que l’« action de groupe peut être exercée en justice au vu des cas individuels présentés par le demandeur ». La logique du dispositif me semble donc claire, et le Gouvernement s’en remet, pour cet amendement, à la sagesse de l’Assemblée.