Il faut en effet une prise en charge pluridisciplinaire, puisqu'il faut à la fois soigner les conséquences de la maladie et donc la psyché, et réadapter les malades à l'effort de manière encadrée et à un rythme raisonnable. C'est une bonne idée, mais est-ce réalisable au moment où les robinets se ferment ?