Les amendements de Jean-François Lamour pour ce dossier

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Je vous remercie, monsieur le président. Nous proposons plusieurs amendements qui permettent de renforcer le dispositif de sécurité et qui se rapprochent graduellement de la clause résolutoire, que ma collègue Nathalie Kosciusko-Morizet présentera de façon détaillée avec l’amendement no 1334 rectifié. Ces éléments nous permettent d’aborder cer...

Ne dites pas le contraire ! Le phénomène ne fait que s’étendre ! Tout ce que nous souhaitons c’est que les personnes qui bénéficient d’une certaine tranquillité puissent continuer à jouir de ce calme. Si cela ne fonctionne pas dans d’autres départements, c’est peut-être parce qu’on a laissé faire ! Cela est peut-être imputable à la densificatio...

C’est un peu court comme réponse, madame la rapporteure, madame la ministre. Nous posons un problème crucial, celui de la concentration. Notre collègue Pupponi l’évoquait tout à l’heure, avec ses mots et sa connaissance du territoire : que faire face la concentration d’une population fragile sur un territoire donné, en l’occurrence sa commune ...

Vous avez retenu un seuil minimal de logements sociaux, aujourd’hui fixé à 25 %. Il nous paraît nécessaire d’instaurer aussi un plafond pour leur implantation, de 30 %, mais à une autre échelle que la commune car il n’existe finalement aucune limite s’agissant d’une ville aussi peuplée et étendue que Paris. Dans certains arrondissements, le tau...

Des exemples analogues, il y en a partout à Paris, mes collègues de la majorité municipale le savent bien.

Non, nous ne votons jamais contre, contrairement à ce que vous dites. Nous nous sommes seulement opposés à la création des nouveaux logements que j’évoquais parce que nous estimons tout simplement que c’est trop. La notion de mixité a totalement disparu et vous savez très bien à quoi cela aboutit : cela tire vers le bas un quartier, cela crée d...

Vous avez fixé un plancher, nous voulons fixer un plafond. La situation de ces quartiers, et pas seulement à Paris, s’en trouvera largement améliorée.

Dommage car nous vous soumettons une initiative qui permettrait, grâce à un nouveau fonds, de mobiliser des terrains dont il serait autrement difficile d’amorcer le réaménagement. Nous vous proposons d’ailleurs aussi un rapport sur ce fonds d’expérimentation : voyez comme nous sommes prudents.

Il est facile d’avoir les Batignolles, Madame Lepetit : ce territoire est aujourd’hui bien occupé mais il n’a pas été facile de le mobiliser.

Grâce à tout le monde : l’État, la Ville de Paris. Le foncier est aujourd’hui extrêmement rare. Nous essayons les uns et les autres de le mobiliser. Encore faut-il avoir les moyens de le faire et, surtout, de trouver des solutions innovantes pour le mobiliser et pour pouvoir construire. Le problème à Paris, c’est qu’aujourd’hui, très peu de l...

Un des vrais problèmes qui se pose dans les zones tendues, c’est le parcours résidentiel. Lorsqu’il est rompu, à quelque niveau de la chaîne que ce soit – logement très social de type PLAI, PLUS ou PLS, logement de type PLI ou logement relevant de l’accession sociale à la propriété –, il y a un blocage qui conduit à créer de la pénurie. Alors, ...

Vous avez fait « non » de la tête ! En tout cas, vous l’avez pensé tellement fort que vous l’avez fait sans vous en rendre compte ! Comme vous êtes en face de moi, je pense à vous ! Mais je vous rassure, cela s’arrêtera quand on sortira de l’hémicycle… Quel est donc l’impact de la disparition du PLI à Paris ? Nous demandons simplement que ce r...

Finalement, cet amendement, pour lequel vous vous êtes passé le sel avec toutes sortes d’amabilités, est assez symbolique de ce texte. Cela m’étonne un peu de vous, monsieur Goldberg, parce que je vous connais : vous êtes plutôt pugnace, et quand vous avez pris une décision, vous vous y tenez. Or là, comme par hasard, hop ! C’est ce que laissa...