Les amendements de Julien Aubert pour ce dossier

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Je vous rappelle qu'il s'agit d'une niche parlementaire. Il paraît donc peu logique d'expliquer aux parlementaires qu'ils ont le droit de déposer des propositions de loi et de leur dire, lorsqu'ils veulent traiter de thèmes qui ne correspondent pas forcément à l'idée de départ de la majorité, qu'ils sont hors sujet. J'ai parfois l'impression de...

Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent. Pour ma part, je suis favorable à ce que l'on inscrive dès à présent dans le texte cette clause de revoyure. L'impact de la réforme engagée est grand : je ne suis pas certain que l'on sera à même de le mesurer dans trois ans. À mon avis, il faudra attendre dix à quinze ans pour que les réseau...

Monsieur le président, j'ai droit à deux minutes ! Ne s'accorder qu'un recul de trois ans, c'est avoir la vue courte. Les opticiens le disent : « Il faut voir loin. » (Sourires sur les bancs du groupe UMP.) Voyons loin ! Ne précisons pas jusqu'à quand ce rapport annuel doit être remis. Quand il ne sera plus nécessaire, il sera temps de le supp...

Cet amendement traite une nouvelle fois de la question du transfert de valeur. Il défend l'idée que les plus modestes doivent profiter de ce transfert. La majorité a fait campagne sur le thème de la justice sociale, il ne serait donc pas illogique qu'une partie du gain dégagé par la réforme touchant le système mutualiste et sa relation avec le...

C'est précisément parce que nous pensons que les mots ont un sens que nous avons déposé cet amendement. Votre explication n'en est donc pas une, madame la rapporteure. « Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » Tout à l'heure, on a cité Mme Aubry et je ne sais plus qui (Exclamations sur les ban...

je préfère nettement Boileau. En tout état de cause, l'amendement n° 12 permettrait de donner un véritable titre à l'usine à gaz qu'est votre texte. Nous avons voulu parler des mutuelles, ce n'était pas le sujet. Nous avons voulu parler de l'économie de la lunetterie, ce n'était pas le sujet. Nous avons voulu parler des transferts financiers,...

Monsieur le président, le groupe UMP ne peut pas laisser passer le terme de « bouffonneries ». Les professionnels de santé, les médecins, les opticiens, les assurés constateront, en lisant le compte rendu de nos débats, que le Gouvernement a voulu imprimer à nos travaux un rythme de locomotive. Évitant toute étude d'impact,

il ne s'est pas inquiété de l'effet qu'aura ce texte sur l'économie globale du système. La majorité ne se soucie que de vaches sacrées, qu'il a défendues de manière incantatoire pendant des heures. Je ne crois pas qu'à ce petit jeu-là, elle gagnera. Elle n'a écouté aucun de nos arguments mais nous avons l'habitude. Peut-être, un jour, certai...