Les amendements de Meyer Habib pour ce dossier

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Madame la présidente, monsieur le secrétaire d’État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, la progression terrifiante et constante des départs de djihadistes vers la Syrie, et le retour de ces terroristes potentiels, font peser sur notre pays des menaces que nous ne pouvons plus sous-estimer. Mille quatre-vingt-neuf Français répertoriés...

Le Hezbollah, bras armé de l’Iran, mouvement terroriste responsable, entre autres, de la mort de cinquante-huit Français lors de l’attentat du Drakkar, ainsi que de notre ambassadeur Louis Delamare, détient huit portefeuilles gouvernementaux au Liban et il a été reçu il y a peu de temps à l’Assemblée nationale. Le Qatar, avec qui nous sommes e...

La lutte contre le terrorisme doit être absolue, totale. Nous ne pouvons pas, monsieur le secrétaire d’État, entrer en guerre à reculons ou par procuration. Nous ne pouvons pas déclarer que certaines lignes frontalières aériennes ne seront pas franchies, ou qu’en aucun cas, nous ne déploierons de forces terrestres ! C’est une preuve de faibless...

…seul État démocratique du Moyen-Orient, en première ligne contre le djihadisme, qui défendait ses civils contre la menace terroriste du Hamas.

Lorsque l’on combat le terrorisme, il n’y a pas de proportion ! Sans le « Dôme de fer », les cinq mille roquettes et missiles tirés par le Hamas auraient causé des centaines, voire des milliers de morts.

La réaction d’Israël aurait-elle alors été jugée plus proportionnée ? Encore une fois, monsieur le secrétaire d’État, il n’y a pas de bons ni de mauvais terroristes.

Daech, Al-Qaeda, le Hamas, le Hezbollah, Boko Haram, sont autant de ramifications du terrorisme, du djihadisme et de l’obscurantisme.

Ces dernières années, certains ont cherché à leur trouver une légitimité intellectuelle ou philosophique, là où il aurait fallu les décapiter – c’est le cas de le dire – pour utiliser un langage qu’ils aiment tant. C’est une condamnation morale implacable du terrorisme qui doit constituer notre première ligne de défense. Enfin, ne nous cantonn...

Monsieur le président, monsieur le ministre de l’intérieur, monsieur le rapporteur de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, mes chers collègues, le réveil est douloureux : le terrorisme est à nos portes. Demain matin peut-être, dans un mois ou dans un an, à Toulouse ou ail...