Les amendements de Philippe Gomes pour ce dossier
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Je soutiens, au nom du groupe UDI, les amendements qui ont été déposés, car je me réfère au texte : le chapitre premier s'intitule « Les principes et missions de l'éducation », et la section I « Les principes de l'éducation ». Ces amendements proposent donc que le goût de l'effort et le respect de l'autorité fassent partie des principes de l'é...
Je ne dirai pas que l'inclusion scolaire de tous les enfants sans distinction « va de soi » ou du moins, cela va autant de soi que le goût de l'effort dont nous parlions tout à l'heure. En réalité, lorsqu'un texte est verbeux, on peut passer des lustres à ergoter sur tel ou tel mot : tel est le handicap majeur de ce projet de loi sur la refo...
On a vu tout à l'heure que le goût de l'effort et le respect de l'autorité n'avaient pas leur place dans la section I « Les principes de l'éducation » du chapitre Ier « Les principes et missions de l'éducation » de l'article 3 A. Maintenant, c'est au tour des parents, qui sont les premiers éducateurs de leurs enfants, de ne pas l'avoir non plus...
Les valeurs et les fondements de la République sont dans la Constitution : la République indivisible, laïque, démocratique et sociale et notre devise « liberté, égalité, fraternité ». Quand je lis ce qui a été ajouté et accepté dans le projet, même si l'égale dignité des êtres humains, la liberté de conscience et la laïcité font partie des val...
Ce qui est bien avec Mme la ministre, c'est que chaque proposition de l'opposition est superflue : il va falloir s'y habituer. Elles sont si anodines, il est vrai Je vois dans cet amendement un questionnement sur la liberté de conscience et sur la liberté en général. De quelle liberté parle-t-on ? De la liberté d'opinion et d'expression, proc...
un clin d'oeil ironique aux limites qu'on essaie de mettre, alors qu'il existe des textes moins verbeux que cette loi et qui fixent les libertés de manière précise.
La Déclaration universelle des droits de l'Homme fait référence à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
mais l'argument du rapporteur, selon lequel il serait inutile d'inscrire une disposition dans la loi sous prétexte qu'elle figure déjà dans la Constitution, ne saurait être retenu. Beaucoup de dispositions qui ne visent qu'à nourrir le verbiage de notre dispositif législatif figurent déjà dans la Constitution !