Déposé le 17 mars 2015 par : M. Aubert.
Compléter l'article par les mots :
« afin de permettre une meilleure prise en compte de la biodiversité terrestre, dont notamment l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et l’Office national des forêts. »».
Si la question de la gestion du gibier se pose, elle apparait néanmoins moins dominante que celle de la lutte contre les nuisibles et parasites exogènes invasifs qui détruisent et menacent la biodiversité de nos territoires. Ainsi, mener une réflexion sur l’incorporation de l’ANSES - et non de l’ONCFS - et de l’ONF dans l’Agence française pour la biodiversité s’impose. En effet, la prolifération des nuisibles et parasites exogènes invasifs ont un impact direct sur notre environnement, sur la tenue des cultures agricoles et sur le maintien de nos paysages. On pourrait ainsi citer les exemples de l’ambroisie d’Amérique du Nord qui est très allergène, du frelon asiatique qui vide les ruches de leurs abeilles, ou encore de la drosophile suzukii qui menace les productions de fruits de notre pays.
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