Déposé le 16 février 2015 par : Mme Massonneau, M. Cavard, M. Roumegas.
Après le mot :
« confiance »
supprimer la fin de l'alinéa 2.
Il s'agit de ne permettre qu'à la personne de confiance désignée de pouvoir témoigner des choix de fin de vie d'un patient inconscient.
En effet, un patient qui n'aurait pas désigné un membre de sa famille ou un proche peut l'avoir omis en toute conscience. De plus, dans le cas où une épouse et une mère ne témoigneraient pas de la même volonté, comment le médecin arbitrerait-il ? Dans ces cas, aucune sédation ou aide active à mourir ne doit être entreprise.
De plus, les motivations et les intérêts des proches ou de la famille peuvent être différents, voir nuisibles, à l'intérêt du patient.
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