Déposé le 10 mars 2015 par : M. Poisson.
À l'alinéa 5, compléter la première phrase par les mots :
« et s'être assuré que la personne n'est pas dans un état de faiblesse ou de vulnérabilité psychologique susceptible d'altérer son jugement. »
Toute personne en fin de vie, déprimée car abandonnée, peut exprimer le désir transitoire d'accélérer sa mort. Cette demande disparaît dès lors qu'un accompagnement global lui est proposée, accompagnement qui lui seul permet une mort apaisée.
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