Amendement N° 2674 (Rejeté)

Projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe

Discuté en séance le 8 février 2013 (1 amendement identique : 541 )

Déposé le 29 janvier 2013 par : M. Fenech, M. Abad, M. Decool, M. Aubert, M. Huet, Mme Grommerch, M. Gorges, Mme Lacroute, M. Le Ray, M. Lurton, M. Goujon, M. Dhuicq, M. Le Fur, M. Moyne-Bressand, M. Marc, Mme Nachury, M. Salen, M. Tetart, M. Gandolfi-Scheit, M. Vannson, M. Marty.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia 
Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia 

La présente loi entre en application le lundi suivant le deuxième tour des élections municipales de mars 2014.

Exposé sommaire :

En évoquant la « liberté de conscience » devant le congrès des maires, le Président de la République a admis implicitement que la célébration des mariages de personnes de même sexe ne pouvait être imposée aux officiers d'Etat civil dont la conscience pouvait être heurtée par ce bouleversement de société.

Cependant, en leur qualité d'officier d'Etat civil, les maires et leurs adjoints ne peuvent se soustraire en l'état actuel du droit à cette obligation.

En conséquence, il est proposé de différer, au lendemain du deuxième tour des prochaines élections municipales de mars 2014, l'application de la loi, de sorte que les candidats puissent assumer en pleine connaissance de cause cette future obligation qui ne saurait être imposée en cours de mandat actuel.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion