Les amendements de Antoine Herth pour ce dossier

3 interventions trouvées.

Puisque nous sommes dans la bonne humeur, je vais essayer d’y rester, bien qu’il soit traditionnellement de ma responsabilité de membre et porte-parole de l’opposition d’être courroucé alors que le Gouvernement nous propose de légiférer par ordonnances. N’est-ce pas, monsieur Brottes ?

 « Les ordonnances, c’est comme un couteau. Quand on le tient par la lame » – n’est-ce pas, monsieur Chassaigne ? – « c’est blessant ». C’est de Jean-Jacques Urvoas, qui, paraît-il, chuchote à l’oreille du Président de la République. Monsieur le ministre, ma question est simple : comment allez-vous faire pour gérer sans vous blesser les quinze ...

Madame la présidente, tous mes amendements restants sur cet article sont défendus et je les retire dans la foulée.