Les amendements de Camille de Rocca Serra pour ce dossier
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Monsieur le Premier ministre, depuis quinze jours, la Corse est prise en otage par une entreprise dont l’État est actionnaire à 25 %.
Ce énième conflit à la SNCM est une violence faite à la Corse, à son économie, à sa population. Violence, aussi, à l’activité économique de Marseille, en raison des bateaux de croisière déroutés. Mais lorsque les artisans, les agriculteurs, les commerçants, l’ensemble des chefs d’entreprise du secteur du tourisme et de tous les autres secteurs ...
Ils ont seulement demandé au Gouvernement – c’est-à-dire à vous, monsieur le Premier ministre –, de faire respecter l’état de droit, et donc de libérer les ports et de permettre la circulation des navires. Ils sont aussi venus vous demander – et je le demande également en leur nom – de prendre les mesures nécessaires, dans les domaines fiscal, ...