Les amendements de Catherine Lemorton pour ce dossier
10 interventions trouvées.
Monsieur le ministre, j’ai su me montrer sévère avec l’ancienne majorité et j’aurai le même comportement à votre égard. Avec ce projet de loi, nous avons eu droit au logo « fait maison » », au défaut de conformité, à l’étiquetage des produits à base de viande, à la facturation à la minute dans les parkings publics payants, aux réservoirs des st...
Permettez-moi de vous renvoyer à quelques-unes de vos contradictions. Il faut mettre fin à des situations de rente, avez-vous dit. Deux minutes après, vous prétendiez que cela n’aurait aucun impact financier sur ces professions.
On nous dit que l’on va arrêter les débats à vingt heures ; je le regrette, car nous ne pourrons pas aborder la question des tests de grossesse et d’ovulation.
Vous dites vouloir vous préoccuper du pouvoir d’achat, monsieur le ministre. Et vous dites qu’une manière de l’améliorer, c’est de proposer ces produits à la vente dans les supermarchés. Cela voudrait-il dire que ces tests sont très régulièrement utilisés par une femme ? Il y a matière à s’interroger. Pour que cela soit significatif sur une ann...
Ce n’est tout de même pas un pot de yaourt, ni un kilo de pommes de terre !
Cela signifie-t-il que cette femme utiliserait ces tests régulièrement ? Si c’est le cas, cela pose un problème. Cela voudrait dire, soit qu’elle est mal informée sur son propre corps, soit qu’elle est suivie pour une procréation médicalement assistée, auquel cas les centres – que vous n’avez sans doute pas auditionnés – prescrivent des tests d...
Je parle de l’ensemble des sujets, monsieur le ministre. Je n’y reviendrais pas. Je déplore que la commission des affaires sociales n’ait pas été saisie. Cela ne veut pas dire que nous ne serions pas arrivés au même résultat, mais nous aurions mis tout le monde autour de la table.
Il me semble, monsieur le ministre, que la concertation est la ligne de conduite de ce Gouvernement. Nous l’avons montré avec les textes de loi précédents. La concertation, la négociation ne sont pas à géométrie variable, quelles que soient les professions.
J’aimerais, madame la présidente, rappeler ce qui s’est passé. Personne n’a empêché la commission des affaires sociales de s’auto-saisir, M. Brottes a raison sur ce point. Notre commission était surchargée de travail, mais, il y a quelques semaines, lorsque j’ai vu que le Sénat avait introduit ces dispositions, j’ai immédiatement appelé les cab...
Monsieur le ministre, vous le savez très bien, j’ai insisté à plusieurs reprises. J’ai proposé d’élargir le débat, de réunir autour de la table tous les acteurs concernés – pharmaciens, sages-femmes, gynéco-obstréticiens, Planning familial – pour élucider les raisons qui freinent l’accès aux tests de grossesse et d’ovulation. Bref, si la commi...