Les amendements de Christophe Guilloteau pour ce dossier
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Projetons-nous dans le moment d'après, avez-vous dit tout à l'heure, madame la garde des sceaux. J'ai essayé de me projeter dans le texte suivant et je suis allé chercher le projet n° 631, relatif à l'élection des conseillers départementaux, qui a été transmis par le Premier ministre au président de l'Assemblée nationale. Son examen a du reste ...
Je suis très inquiet pour Manuel Valls, qui va présenter ce texte dans quelques jours. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
Madame la ministre, notre collègue Nicolas Dhuicq a exprimé son inquiétude tout à l'heure, ce qu'il n'aurait peut-être pas fait si l'avis du Conseil d'État était venu répondre à ses interrogations. Je voudrais dire à notre collègue Le Bouillonnec, qui est parti ah non, je l'aperçois là-bas
que je le connaissais avocat, mais pas procureur, car ce soir il s'est transformé en procureur, et cela me dérange. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Tout à l'heure, il a été fait mention du mariage célébré par Noël Mamère à Bègles. Pour ma part, je considère qu'il vaut mieux un bon contrat chez un notaire qu'un mauvais mariage à Bègles. (Rires et applaudissements sur les bancs des groupes SRC et écologiste.)
Je pensais que nos débats seraient plus sereins, même s'il y a eu, ce matin, une forme d'ouverture avec, pour la première fois, le vote de l'un de nos amendements il a fallu toutefois s'y prendre à plusieurs reprises. Je voudrais revenir sur un épisode que j'ai vu en boucle à la télévision : l'attaque dont a été l'objet notre collègue David ...
Mais cet homme qui a fait résonner autant de fois La Marseillaise (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et écologiste),
..qui a fait vibrer la France en lui donnant des médailles, qui a été décoré par le Président de la République au nom de la Nation, qui a choisi de faire une deuxième carrière, une carrière politique, qui a été élu et réélu, j'aimerais rappeler qu'il est ici par la volonté du peuple : ses électeurs l'ont choisi pour les représenter et pour lui ...
Je déplore que la notion d'enfant soit foulée aux pieds par certains. Madame la garde des sceaux, pourquoi vous refusez-vous à nous communiquer l'avis du Conseil d'État ? M. Meunier l'a dit, nous en sommes réduits à le découvrir par petits bouts dans la presse heureusement, il existe une presse bien pensante pour alimenter les parlementaires....
L'amendement est défendu. Nous arrivons à l'article 23. Ce soir, au onzième jour des débats, nous vivons une séance un peu particulière. J'ai raté une matinée pour aller dans ma circonscription, mais je ne l'ai pas fait en donnant des leçons comme l'a fait tout à l'heure le président d'un groupe. Je veux revenir sur les propos de M. Glavany qu...
Non, ce n'est pas de notre faute, cher collègue. L'opposition essaie de faire son travail parce qu'elle a été élue pour cela. À chaque fois que nous proposons quelque chose, nous avons forcément tort. Un seul amendement a été accepté. Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose pour la démocratie. Vous êtes entêtés. Nous avons demandé l'avis...
D'un mot, je voudrais revenir sur le volet agricole de l'article 13 bis, où il est question de congé maternité. Étant élu d'une zone rurale, je peux m'autoriser à observer la question avec intérêt. Cela dit, je ne suis pas sûr que ce soit la préoccupation première du monde rural. Pour qu'il y ait des congés maternité, il faudrait d'abord qu'il...
Si je compte bien, cela fait onze jours que nous examinons ce texte et nous avançons à petits pas, puisque nous en sommes à l'article 16 bis, et celui-ci vaut son pesant de gratons. À un moment où la France compte 1 000 chômeurs de plus par jour, on va se préoccuper du fait que les ressortissants de certains pays pourraient être en situation i...
Malgré l'heure tardive, qui pousse certains dans des retranchements parfois un peu curieux, entre les interventions de notre collègue Nicolas Dhuicq qui nous emmènent loin parfois dans la philosophie et les déclarations de Jérôme Guedj à Mme la garde des sceaux, je voudrais redire que ce texte bouleversera la société.
et je ne suis pas sûr que ce soit ce que les Français attendent aujourd'hui. Cette France qui va si bien, à en croire nos amis socialistes, n'est pas franchement celle dans laquelle je vis. Mes électeurs ont d'autres préoccupations. Ils veulent de la sécurité, de l'emploi, des élus qui parlent de vérités mais certainement pas de ce genre de ch...
Je n'en suis pas sûr, nous verrons. L'un de nos collègues a dit tout à l'heure que l'UMP pourrait reprendre le pouvoir en 2050. Par le jeu de l'alternance politique
Mais le débat va reprendre. Nous avons appris, grâce à la discussion de ce texte, les horreurs qui circulent sur internet. La société française, les hommes et les femmes de notre pays, vont se dresser contre ce qui est pour moi l'horreur de l'horreur. Nous sommes en train d'engendrer un système contre-nature.
C'est très curieux : on a l'impression qu'il y a, dans cet hémicycle, le côté gauche qui sait et le côté droit qui devrait se taire. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Ces comportements le montrent bien : depuis que nous examinons ce texte, il y a ceux qui savent et ceux qui ne savent pas.
Je ne suis pas sûr que le million de personnes descendues dans la rue il y a quelques jours, et qui manifesteront de nouveau le 24 mars, partagent votre avis.