Les amendements de David Douillet pour ce dossier

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Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le rapporteur, chers collègues, cette proposition de loi et les principes qui ont présidé à sa rédaction ont été brillamment présentés par les orateurs précédents, notamment M. Darmanin et Mme Poletti. Aussi, je reviendrai sur un seul point, essentiel à mes yeux : l’État doit faciliter la vie ...

Je veux vous faire comprendre, madame la ministre, que nous ne prenons pas la parole par plaisir ou par envie de vous faire perdre votre temps. C’est pour ces gens-là que j’essaie de me battre, et je le fais avec sincérité.

Oui, monsieur le président. Ce sujet me touche, alors je prends quelques secondes de plus, moi qui ne parle pas souvent. Avançons ensemble. Nous pourrions, je crois, voter à l’unanimité cette proposition de loi qui accélérera ce processus, via vos groupes de travail et vos groupes de réflexion, qui souvent, sont trop lents. On entend trop souve...

Pas davantage que ma collègue Poletti, je n’arrive à comprendre. Franchement, mesdames et messieurs les députés de la majorité, vos arguments sont bien légers. Pourquoi ne pas plutôt avancer ? Dans la vie, quand on a un objectif, et en l’espèce nous avons un objectif commun, ce qui n’est pas courant, il faut avancer par étapes. En voici une, qu...

J’en viens à me dire, et je le dis devant tous ceux qui assistent à nos débats, que je proposerai dorénavant des lois sous la signature de l’un de mes amis qui partage vos bancs, mesdames et messieurs les députés de la majorité ! C’est le seul moyen de les voir adoptées !

J’entends bien ce que vous dites, madame la ministre, mais les situations que vous évoquez ne se retrouvent pas forcément partout ! Ainsi, l’un de mes amis, malheureusement atteint de sclérose en plaques et obligé de se déplacer en fauteuil roulant, m’a fait savoir qu’à Poissy il lui était impossible d’obtenir un logement au rez-de-chaussée, au...

J’aurais voulu éviter de dire ces mots, car ce débat, de par son importance, doit dépasser les clivages politiques. Cependant, force est de constater, depuis le début des débats, que nous nous trouvons face à un mur dogmatique.

C’est bien l’impression que vous nous donnez, chers collègues ! Rompez donc ce mur, comme nous avons nous-mêmes su le faire en d’autres temps, d’autres lieux. Si certains d’entre vous essayent de le faire, leurs efforts ne sont pas suffisants. Sachez nous entendre, ce sera une belle avancée et un beau signal en direction des familles concernées

Dans nos contrées yvelinoises, on constate que quand on n’a pas beaucoup de confiture, on a tendance à l’étaler. Les associations qui travaillent dans le domaine du handicap sont témoins que pas grand-chose avance, qu’il n’y a que des paroles et encore des paroles. Je regrette que ma collègue Pinville soit partie…

Toutes mes excuses ! Vous vous rapprochez ? C’est très bon signe. Il reste encore quelques sièges, j’arrive, je vais me rapprocher aussi. (Sourires.)

Sur des sujets comme cela, être aussi obtus et systématique est hallucinant ! Nous sommes au Parlement : on parlemente, on discute, on doit avancer ensemble. La richesse de notre démocratie, c’est d’avoir des visions et des avis différents. Tant mieux ! Ce sont des sujets qui ne sont pas politiques : il n’y a pas d’idéologie….

…ou alors, je me suis égaré et n’ai pas tout compris. J’ai l’impression qu’il n’y a pas d’idéologie derrière tout cela. J’espère que non, en tout cas !

Vous vous plaignez de vous répéter, mais nous aussi devons répéter encore une fois notre question : expliquez-moi pourquoi un amendement de bon sens…

J’ai eu l’immense honneur d’être ministre, je sais ce qu’est une circulaire ! Elle est prise en compte ou non, y compris par les fonctionnaires. Elle est sujette à interprétation. On avait été obligé d’en supprimer un bon nombre parce que les interprétations étaient bien loin de l’esprit initial. Il relève du bon sens de se poser la question d...