cosignée par Julien Aubert, Luc Chatel, Dino Cinieri, Philippe Cochet, Gérald Darmanin, Marc-Philippe Daubresse, Jean-Pierre Decool, Sophie Dion, Dominique Dord, Christian Estrosi, Yves Fromion, Alain Gest, Georges Ginesta, Philippe Gosselin, Anne Grommerch, Arlette Grosskost, Jean-Claude Guibal, Michel Heinrich, Jacques Kossowski, Valérie Lacroute, Marc Le Fur, Dominique Le Mèner, Véronique Louwagie, Lionnel Luca, Alain Marty, François de Mazières, Damien Meslot, Pierre Morel-A-L'Huissier, Alain Moyne-Bressand, Valérie Pecresse, Bérengère Poletti, Didier Quentin, Jean-Luc Reitzer, Bernard Reynès, Martial Saddier, Fernand Siré, Lionel Tardy, Jean-Charles Taugourdeau, Guy Teissier, Michel Terrot, Jean-Sébastien Vialatte & Jean-Pierre Vigier
Mesdames, Messieurs, La Cour des comptes avait publié en son temps un rapport accablant sur la gestion du comité d'entreprise de la RATP. Elle y relayait des « problèmes de surfacturations, voire de double facturation, des dépenses somptuaires, une absence de comptabilité sérieuse, des gestions opaques des centres de vacances ou de restauration collective » et même des emplois fictifs, ce qu'elle avait déjà relevé concernant le comité d'entreprise EDF GDF. Ainsi, la Cour des Comptes dénonçait la « coexistence de structures nombreuses, complexes et onéreuses ; surdimensionnement des moyens matériels nécessaires à la gestion des procédures ; manque de transparence des ressources et des emplois et contrôles internes insuffisants ; défauts d'application des règles de droit, en particulier en matière sociale, fiscale et de concurrence ; absence de règles de portée générale ou définition de règles inadaptées pour la réalisation des achats. » Tout ceci est...
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