cosignée par Benoist Apparu, Julien Aubert, Véronique Besse, Marcel Bonnot, Bernard Brochand, Jean-Michel Couve, Gérald Darmanin, Marc-Philippe Daubresse, Nicolas Dhuicq, Marie-Louise Fort, Laurent Furst, Alain Gest, Arlette Grosskost, Jean-Jacques Guillet, Thierry Lazaro, Véronique Louwagie, Jean-Claude Mathis, François de Mazières, Philippe Meunier, Pierre Morel-A-L'Huissier, Jean-Luc Moudenc, Alain Moyne-Bressand, Bernard Perrut, Bérengère Poletti, Jean-Luc Reitzer, Camille de Rocca Serra, François Scellier, Fernand Siré, Alain Suguenot, Guy Teissier, Michel Terrot, Jean-Marie Tetart & Éric Woerth
Mesdames, Messieurs, Les agressions perpétrées dans les collèges et lycées, dont certaines d'une violence rare, occasionnent des conditions d'enseignement insupportables pour les élèves, pour les enseignants et pour tout le personnel administratif.
Les mesures prises, telles que la vidéo-protection et les portiques de sécurité, ne suffisant pas à garantir la sécurité des élèves, des professeurs et des personnels d'encadrement, il convient de trouver des moyens permettant de prévenir cette violence et lorsqu'elle se produit d'y apporter une réponse rapide et adaptée.
Les surveillants chargés de veiller à la sécurité des élèves ne sont pour la plupart ni prêts ni formés pour assumer ce rôle de plus en plus difficile.
Afin de mieux répondre à cet impératif de sécurité, le Gouvernement envisage de recruter 500 assistants de prévention et de sécurité (APS). Plutôt que de faire appel à jeunes à former, il serait sans doute judicieux et plus efficace de...
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