4 interventions trouvées.
Monsieur le Premier ministre, le peuple grec souffre et la Grèce est au bord de la faillite. À qui la faute ? Certainement pas à l’Europe, mais aux dirigeants grecs successifs et actuels, incapables de réformer leur pays et de collecter l’impôt. La Grèce est menacée de sortir de l’euro. À qui la faute ? Non à l’Europe mais à M. Tsipras, qui a fait habilement croire au peuple grec que voter « non » au référendum, c’était dire « oui » à...
...nt européen. Dimanche, les vingt-huit chefs d’État et de gouvernement se réuniront à nouveau. Ce calendrier doit permettre à la Grèce de rester dans la zone euro. C’est le souhait des citoyens grecs qui, par leur vote de dimanche dernier, ont dit oui à l’Europe et à la monnaie unique, mais non à la poursuite de l’austérité et aux efforts sans perspectives. Une sortie aggraverait la souffrance du peuple grec alors qu’un habitant sur trois vit sous le seuil de pauvreté. Pour la zone euro et, plus largement, pour l’Europe, cette option serait un fait inédit, et aurait des conséquences géopolitiques, car nous parlons d’un pays européen situé à proximité d’un bassin que traversent tant de crises. Voilà pourquoi il faut défendre l’intérêt général européen. Et l’intérêt général européen, mes chers co...
...ur le Premier ministre. Monsieur le Premier ministre, je prends la parole ici au nom des cinquante-trois députés écologistes, socialistes et communistes qui vous ont adressé hier un appel pour le maintien de la Grèce dans la zone euro et la restructuration de la dette grecque, mais aussi, je pense, au nom des millions de Français qui, comme nous, soutiennent pleinement les choix démocratiques du peuple grec et leur refus de nouvelles restrictions budgétaires.
L’expression du peuple se fait par le vote ! C’est la vocation de l’Assemblée de voter !