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...du programme no 219, se trouve consolidée. Dans ce domaine, les crédits sont stabilisés. Les actions « sport santé » sont poursuivies, tandis que le financement de l’Agence française de lutte contre le dopage – AFLD – et de l’Agence mondiale antidopage – AMA – continue d’être assuré. Dernière priorité, mes chers collègues, et non des moindres : confirmer la place de la France comme grande nation olympique et paralympique. La réussite sportive du pays demain se prépare ici et aujourd’hui. Comment ? En allouant 5 millions d’euros aux primes des futurs médaillés des Jeux olympiques de Rio, 10 millions d’euros au nécessaire soutien à la candidature de Paris comme ville d’accueil des Jeux olympiques et paralympiques de 2024, et 1,8 million d’euros pour assurer contre les risques d’accident professionne...
Les moyens dédiés aux fédérations sont reconduits à un niveau identique à 2015. Ni diminution, ni augmentation, me direz-vous. Sauf que pour 2016, une réserve de précaution de 8 % est prévue et qu’elle ne peut s’imputer que sur le chapitre des conventions d’objectifs. Très concrètement, cela revient à une diminution des crédits aux fédérations de 8 %, l’année des Jeux olympiques et paralympiques et du lancement du plan « Citoyens du sport ». C’est inacceptable ! Nous soutiendrons donc l’amendement qui tend à augmenter les crédits dédiés aux conventions d’objectifs avec les fédérations sportives. Le budget de l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance – INSEP – diminue, quant à lui, de 2,2 millions d’euros à la veille des Jeux olympiques de Rio !...
...que du Gouvernement à destination de la jeunesse. S’il peut permettre à des jeunes de s’engager dans une cause citoyenne et les aider à s’intégrer dans la vie professionnelle, il ne résoudra pas à lui seul le chômage des moins de vingt-cinq ans ou le décrochage scolaire. Par ailleurs, le Gouvernement ne doit pas avoir le même calendrier que tous les Français. Alors que 2016 sera l’année des Jeux olympiques et paralympiques à Rio et l’année de l’Euro de football – en France ! –, les crédits du programme « Sport » stagnent. Les crédits du Centre national pour le développement du sport sont en baisse de 5,75 millions d’euros par rapport à 2015 et intègrent la prise en compte par le CNDS du financement pour le compte de l’État de la candidature de la Ville de Paris aux Jeux olympiques et paralympique...
... collectivités territoriales. À ce propos une récente commission d’enquête parlementaire a rappelé l’importance du rôle des associations et de l’indispensable soutien des pouvoirs publics à leurs interventions en cette période de crise économique et sociale. Pour ce qui est du programme 219, consacré au sport, le budget est stabilisé et sera notamment consacré à la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024. La préparation de cette candidature doit aussi avoir des répercussions positives sur les infrastructures locales, en Île-de-France et au-delà. Les crédits du programme 219 viendront également appuyer la mise en place du plan « Citoyens du sport ». Ce dispositif permettra le recrutement, d’ici 2017, de 1 000 éducateurs sportifs dans les quartiers prioritaires. En parallèle, quelque 1 50...
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, messieurs les rapporteurs, la France ambitionne de retrouver le cinquième rang sportif mondial lors des jeux de Rio, en 2016. C’est un bel objectif pour tous nos sportifs et sportives. La France est candidate à l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 : c’est un immense défi pour l’ensemble de nos compatriotes, pour l’État et pour le mouvement sportif. Oui, la France peut se fixer de tels objectifs, car elle a de beaux atouts, avec son modèle sportif qui engage la responsabilité de l’État dans l’accès au sport pour toutes et tous comme dans le sport de haut niveau, en partage avec le mouvement sportif. Ce dernier, so...
Plus qu’une question, ce sont – une fois n’est pas coutume – des motifs de satisfaction sur le sport de haut niveau qu’exprimera mon intervention. En effet, l’année 2016 sera une année importante avec, d’une part, à Rio, les Jeux olympiques et paralympiques et, d’autre part, en France, les championnats européens de football et de badminton. La première mesure importante de ce budget est le financement des primes des futurs médaillés, pour un montant prévisionnel de 5 millions d’euros. C’est un gage de sérieux et d’encouragement adressé à nos sportifs, rompant avec l’impréparation qui a présidé à la budgétisation des récompenses de...