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...r 2016 inférieurs de près de 4,8 millions d’euros du fait de la mise en oeuvre d’une réserve de précaution de 8 % en exécution budgétaire. L’enveloppe financière programmée est pourtant indispensable car les fédérations sportives devront décliner en 2016 le plan national « Citoyens du sport » et participer, cela vient d’être rappelé par plusieurs de nos collègues et par le ministre, au succès des Jeux olympiques et paralympiques de Rio l’été prochain. Aussi vous est-il proposé, par cet amendement, d’augmenter les crédits dédiés aux fédérations sportives du montant du gel anticipé, soit 4,8 millions d’euros.
Non seulement, avec mes collègues Sophie Dion et Thierry Benoit, nous soutenons cet amendement, mais nous le reprendrions dans le cas où M. le rapporteur spécial le retirerait. Aujourd’hui, les fédérations sportives qui préparent les futurs Jeux olympiques de Rio – j’espère que nous aurons les Jeux olympiques de 2024 ! – se trouvent en difficulté. Monsieur le ministre, vous nous parlez des contrats de service civique : bien sûr que c’est important ! Nous ne le nions pas ! Mais, dans la situation actuelle, il faut savoir si l’on veut donner la possibilité aux fédérations de fonctionner normalement. Étant en difficulté, elles vous ont déjà...
La structure fédérale est le lieu où se croisent à la fois le sport pour tous et toutes et le sport de haut niveau : c’est ce qui fonde la qualité du mouvement sportif français. En cette année olympique, alors que nous déposons une candidature pour les Jeux olympiques de 2024, il faut leur donner les moyens nécessaires à leur bon fonctionnement. Il ne faut pas les opposer au service civique : pour que les jeunes puissent accéder, de plus en plus nombreux, au service civique, il faut certes financer ce dernier, mais il faut aussi des structures pour accueillir ces jeunes. Si le mouvement sportif n’a plus les moyens de les accompagner, on pourra fina...
Cet amendement très important vise à renforcer l’héritage sportif des grands événements sportifs internationaux, par la prolongation de la contribution exceptionnelle de 0,3 % à La Française des jeux au-delà de 2017, et de fixer un plafond de prélèvement à 24 millions d’euros, ce qui serait similaire aux précédentes années. Les sommes ainsi dégagées viendraient abonder le centre national pour le développement du sport. Une vingtaine de grand événements sportifs internationaux devraient être organisés sur notre sol d’ici 2019 – cinquante entre 2012 et 2019. Autant d’occasions de stimuler la p...
Je me retrouve à présenter un amendement identique à celui de M. Juanico, certes, mais je rappelle que nous avons dû ferrailler dur – avec lui, d’ailleurs – pour obtenir que l’on prolonge le prélèvement jusqu’à 2017, année du choix de la ville organisatrice des Jeux olympiques de 2024, contre 2016 au départ. Certains de nos collègues, absents ce soir, s’y opposaient. Par ces amendements identiques, nous proposons de porter cette prolongation jusqu’à 2024, de manière à donner davantage confiance aux investisseurs potentiels quant à la mise aux normes d’un certain nombre d’équipements.
...t de demain, afin que la France soit une vraie nation sportive et pour que tous nos enfants et tous nos jeunes bénéficient des valeurs et des vertus du sport. Réfléchissons à la manière de faire la France sportive ! L’adoption de ces amendements serait un beau signal à envoyer, d’autant que c’est sur le budget du CNDS que vous vous apprêtez à financer la candidature française à l’organisation des Jeux olympiques de 2024.