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... écoute aussi les producteurs français, qui souhaitent valoriser leur production ; l’étiquetage permettrait de mettre en lumière la qualité de leurs produits. Je suis ouvert à la discussion et à une évolution, afin que l’on parvienne à une rédaction qui satisfasse les professionnels des métiers de bouche comme ceux qui essaient de promouvoir des produits de qualité issus de l’aquaculture ou de la pêche françaises. L’avis est défavorable, à ce stade, sur l’amendement no 25.
...bligatoirement être mentionnées sur les produits issus de la mer. Cependant, rien n’est réellement prévu pour la restauration commerciale et collective. En ce sens, l’article 22 comble un manque législatif important, d’autant plus que les consommateurs veulent désormais savoir, très légitimement, ce qu’ils mangent. L’article 22 dispose que les cartes des restaurants doivent mentionner la zone de pêche ou le pays d’origine des produits aquatiques servis. Si cette mesure est nécessaire, il nous semble préférable de la renforcer, en imposant la mention simultanée de la zone de pêche et du pays d’origine. En effet, l’information doit être la plus lisible possible pour le consommateur. Actuellement, les zones de pêche sont définies par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agroa...
Le règlement européen de 2013 impose d’afficher plusieurs informations lors de la vente de produits de la pêche ou de l’aquaculture, notamment la dénomination commerciale de l’espèce, ou encore la zone de capture et d’élevage. Cependant, ce règlement n’impose aucune contrainte à l’égard des produits transformés aquatiques. Chacun a en mémoire le scandale des lasagnes à base de viande de cheval. Le groupe UDI a toujours milité pour une meilleure traçabilité, notamment, au sein de la catégorie des produits t...
Cet amendement vise à corriger un oubli en prévoyant qu’il soit fait mention de la date de prise d’une pêche, une information essentielle pour le consommateur.
L’avis de la commission est défavorable. Monsieur Folliot, je comprends votre préoccupation, mais votre proposition fait fi de la réalité de la pêche et induirait le consommateur en erreur. Celui-ci pourrait croire, en lisant que le poisson a été pêché par exemple dix jours auparavant, ce qui est parfois le temps nécessaire à l’acheminement d’une cargaison sur un lieu de vente, que celui-ci n’est pas frais, alors que la chaîne du froid a été respectée de la prise à la présentation sur l’étalage.