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Je propose simplement que l'Assemblée des Français de l'étranger soit consultée et non qu'elle « puisse être » consultée par le Gouvernement, par le président de l'Assemblée nationale ou par le président du Sénat sur la situation de nos compatriotes résidant à l'étranger. On le sait bien : si on écrit « peut être », cela ne se fera pas !
...tion nécessaire à nos concitoyens électeurs à l'Assemblée des Français de l'étranger ne soit pas élargie, par exemple en cas de démission ou de remplacement des conseillers consulaires. Nous l'avions déjà suggéré mais M. le rapporteur nous a opposé un refus. Je m'étonne donc que le souci d'information dont témoigne l'amendement n° 30 de M. le rapporteur ne vaille pour d'autres situations dont nos compatriotes mériteraient également d'être informés.
La grande avancée de ce projet de loi sur la représentation des Français établis hors de France, c'est la proximité. Nous avons créé des conseils consulaires. Les conseillers consulaires, bien plus nombreux que par le passé, seront aux côtés de nos compatriotes à l'étranger pour dialoguer avec eux et traiter les questions qui les préoccupent. Nous gardons l'Assemblée des Français de l'étranger, dont les prérogatives sont même renforcées : l'AFE pourra désormais donner des avis sur le budget pour ce qui concerne les Français habitant à l'étranger. Nous avons donc une bonne représentation de proximité, avec une Assemblée des Français de l'étranger qui v...
La démocratie est une affaire précieuse, et notre préoccupation était de permettre à nos compatriotes résidant à l'étranger d'identifier l'architecture que nous mettons en place. Il faut qu'ils aient envie de participer, que les élus qui verront le jour après le vote de cette réforme soient légitimes, avec un mandat clair et défini. Disons-le franchement : il reste encore quelques points qui n'ont pas été éclaircis. Mais, par souci de solidarité avec la majorité à laquelle il appartient, le grou...