Interventions sur "hollande"

29 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Louise Fort :

C'est une déclaration sans vote ! Avez-vous si peur du résultat ? Déjà, vous avez renoncé à réenchanter le rêve français ; je crains qu'il en soit de même pour l'Europe. Sur ce sujet, l'exposé du Premier ministre ne nous a pas rassurés, ne nous a pas enthousiasmés, pas plus, malheureusement, que le Président Hollande n'enflamme son auditoire lorsqu'il s'adresse à ses interlocuteurs sur la scène européenne. Dommage pour nous, dommage pour la France ! Enfin, je veux terminer sur une note d'optimisme : la semaine prochaine, vous pourrez compter sur notre vote lors de la ratification du traité. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClaudine Schmid :

...incre que la règle d'or sera une chance pour la France. Il est temps de fixer une norme qui fasse figure, non seulement d'objectif partagé, mais également d'obligation de résultat. Je me réjouis avec vous, chers collègues, que le gouvernement de M. Ayrault nous donne la possibilité de transposer dans notre droit le traité contenant la règle d'or, négocié par Nicolas Sarkozy et signé par François Hollande, sans en modifier un mot. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRazzy Hammadi :

et de faire en sorte que le traité soit avant tout adossé à un pacte de croissance et d'emploi. Nous, socialistes, avons été élus pour porter le changement, y compris au niveau européen. C'est notre responsabilité et nous l'assumons, surtout lorsque nous voyons à quel point la victoire de François Hollande a été saluée aux quatre coins de l'Union, et pas seulement par les socio-démocrates. Pendant des mois, les sommets, au nombre de seize, s'étaient succédé, avec pour conclusion une conférence de presse qui à chaque fois donnait lieu au même jeu d'estrade, écrit d'avance : un Nicolas Sarkozy expliquant que la crise était terminée, que tout était réglé. Quand la gauche, sur ces bancs et dans le pa...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRazzy Hammadi :

Ce sursaut est venu avec le conseil européen au cours duquel François Hollande quoi que vous en disiez et c'est cela qui vous fait le plus mal a bien plus obtenu en vingt-quatre heures que Nicolas Sarkozy en cinq ans. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Germain :

Monsieur le président, monsieur le ministre, chers collègues, en regardant tout à l'heure M. Jacob et M. Borloo brandir le traité et dresser une comptabilité dérisoire de ses mots et de ses virgules, je repensais à cette phrase de Jaurès : « Quand les hommes ne peuvent plus changer les choses, ils changent les mots. » François Hollande, lui, a choisi de changer les choses. Et les choses ont changé, le 28 juin. Nous réclamions depuis vingt ans avec Jacques Delors un programme de grands travaux. C'est fait avec le paquet croissance de 120 milliards d'euros, et c'est important pour soutenir la croissance de l'Europe et muscler sa compétitivité. Nous réclamions depuis quinze ans une taxe sur les transactions financières. C'est fai...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Germain :

Qui peut, au vu de tout cela, nier sérieusement que l'Europe a profondément changé de direction depuis trois mois ? La vérité, c'est que François Hollande a réussi, là où Nicolas Sarkozy avait échoué, pour ne pas dire fauté. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) La vérité, c'est qu'après des années de chacun pour soi et d'austérité généralisée, le balancier de l'Europe est revenu du côté de la solidarité et de la croissance.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Germain :

L'Europe de François Hollande et Jean-Marc Ayrault, c'est de la sueur, des emplois et de la justice. C'est cette Europe-là que nous soutenons, monsieur le ministre, en approuvant aujourd'hui votre politique. Nous avons toujours été là pour faire avancer l'Europe, nous le sommes et nous le serons ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)