Interventions sur "dette"

24 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Castaner :

...F. Parallèlement à toutes ces mesures, le Gouvernement a aussi décidé de prendre en charge les plus personnes éloignées de l'emploi. Les effectifs de Pôle Emploi seront renforcés à cet effet. Nous ne pouvons donc que nous féliciter que le Gouvernement, tout en maîtrisant les dépenses publiques, poursuive sa politique volontariste en faveur de l'emploi. Ce budget, monsieur le ministre, combat la dette, doublée par la droite en dix ans. Nous voulons ainsi préserver notre liberté de décider face aux marchés. Ce budget combat pour l'emploi, le pouvoir d'achat et les PME ; ce budget combat la domination du plus fort en mettant en oeuvre une fiscalité plus juste : au fond, ce budget est bien un budget de gauche. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Germain :

...res, des pédagogies et de la formation des enseignants. Là est la vraie compétitivité, n'en déplaise à M. Lemaire mais il n'est plus là. Ce budget, c'est enfin l'assainissement des comptes publics dans la justice. Je fais partie de ceux qui ont défendu l'objectif des 3 % dès 2013 car j'y suis profondément attaché : c'est le seuil en dessous duquel, on l'a rappelé maintes fois, la courbe de l'endettement s'inverse. Je l'ai fait aussi parce que c'est un objectif atteignable, ce PLF en apporte la démonstration. Il y avait, en effet, dans les multiples niches fiscales, les marges de manoeuvre suffisantes dans lesquelles nous avons pu puiser sans porter atteinte à la croissance. J'ai défendu l'objectif des 3 %, mais je défends aussi une approche des 3 %. Je suis contre les ajustements permanent...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean Launay :

... plus aisées. Il n'est donc pas étonnant d'entendre, alors que nous faisons le choix du rétablissement des finances publiques, ceux-là mêmes qui ont bénéficié de largesses inconsidérées de la majorité précédente hurler au matraquage fiscal. La volonté du Gouvernement, c'est de rattraper en urgence ce que vous avez dégradé : la dérive du déficit public, l'augmentation de 700 milliards du stock de dette sur les cinq années écoulées, l'accroissement du déficit du commerce extérieur, les chiffres dégradés de l'emploi, la flambée du chômage et l'augmentation de la précarité. La volonté du Gouvernement, et nous le suivons, c'est de réhabiliter l'impôt et de redonner à l'impôt sur le revenu la progressivité qu'il a perdue régulièrement, du fait du bouclier fiscal et de l'accroissement des dépenses f...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean Launay :

Notre légitimité, c'est le vote de cet article 1er, alliant nécessité et consentement à la contribution publique. Notre légitimité, c'est la rupture avec les politiques publiques précédentes, dont la pratique a conduit à un endettement insupportable. Notre premier travail, Pierre Moscovici l'a justement rappelé hier, sera d'opérer ce redressement en refusant le fatalisme et en sauvegardant notre modèle social. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)