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Rien ne vous échappe, monsieur le président ! Je suis convaincu que les détenteurs d'oeuvres d'art ne sont pas des spéculateurs dans leur immense majorité. Cela dit, je pourrais vous montrer, chers collègues, des prospectus trouvés sur le Net, dont l'argument principal est justement la possibilité d'échapper à l'ISF. Ne perdons pas cela de vue. Mais les propriétaires de résidences principales ou secondaires assujettis à l'ISF ne sont pas davantage des spéculateurs ! Vous évoquez les difficultés d'évaluation, mais il existe une cote ! Plus l'artiste est connu, plus il est coté, identifié, et ses oeuvres assurées.