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après avoir jeté le discrédit sur le métier d’enseignant, voilà la droite qui revient à la charge, déterminée à aggraver l’état de délabrement de notre éducation !
...amentale avec le principe républicain d’égalité. En effet, rompre avec le service public de l’école républicaine, c’est conduire au renforcement des inégalités, en renonçant à donner à tous les enfants, quelles que soient leurs origines sociales et territoriales, un égal accès à l’éducation. Rompre avec le service public de l’éducation républicaine, c’est aussi supprimer massivement des postes d’enseignants, mettre à terre leur statut et le précariser. Après le bilan désastreux de la droite au terme de dix ans de pouvoir, marqués par la suppression de 80 000 postes…
…les fermetures de classes, la destruction de la formation des enseignants, la seule et unique proposition qu’elle formule est la suppression du service public de l’éducation.
…la réinstitution de la semaine de quatre jours ou la suppression de l’éducation nationale. Le sérieux, c’est, au contraire, d’encourager la réussite de la mise en place des nouveaux rythmes, en concertation avec les maires, les enseignants, les parents, les animateurs et les associations.
...us invite à poursuivre le travail engagé : 60 000 postes créés, là ou vous en avez détruit près de 80 000, la priorité au premier degré, pour soutenir les élèves les plus défavorisés, des dispositifs innovants, comme la scolarisation des enfants de moins de trois ans, le dispositif « plus de maîtres que de classes », la lutte contre le décrochage, les passerelles écoles-collèges, la formation des enseignants – que vous avez sabordée –, le chantier des métiers, la mise en place du Conseil des programmes et la réforme à venir de l’éducation prioritaire. Toutes ces réformes, mesdames, messieurs les députés, poursuivent un seul intérêt : celui des élèves et de la jeunesse de France. Ainsi donc, vous souhaitez municipaliser avant l’heure l’éducation nationale : quel aveu !