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...nde de la culture et devant les Français, de « sanctuariser » le budget de la culture. Il l'a dit et répété, et toute la gauche reprenait en choeur le même refrain, répétant qu'en période de crise, la culture n'est pas un luxe, mais qu'elle est l'avenir et le redressement. L'automne est venu, et François Hollande renie sans scrupules tous ses engagements. La culture n'est tout simplement pas une priorité pour le Président de la République, ni pour le Gouvernement : loin d'être sanctuarisée, elle est devenue une simple variable d'ajustement budgétaire.
Combien d'auteurs, de musiciens, de poètes, peut-on faire vivre avec 12 millions d'euros par an ? Concernant le programme « Création », nous louons les priorités données au spectacle vivant et aux arts plastiques, à l'aide à la création et aux nouvelles écritures ainsi qu'au soutien des artistes. Il en va de même de l'aide affichée aux institutions et lieux de création ou de diffusion, aux structures de recherche et à la professionnalisation du secteur. Enfin, concernant le programme « Transmission des savoirs et démocratisation de la culture », votre s...
En revanche, un milliard d'euros peuvent ainsi être économisés sur trois ans. Ces reports et annulations n'ont en rien empêché de mettre en place une politique culturelle aux lignes directrices fortes et aux priorités clairement établies.
Ces priorités nous rappellent que jeunesse et culture doivent être indissociables, qu'art et éducation sont tout aussi inséparables que le furent les Oiseaux de Hitchcock, que les territoires et les publics éloignés de la culture doivent désormais pouvoir y accéder, que création et patrimoine ne font qu'un, passerelle tendue à travers le temps et l'espace,