Les amendements de Gilles Carrez pour ce dossier
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or ce n'est pas possible. Elle en rapportera seulement la moitié je suis moins pessimiste que M. de Courson. Parmi les 1 500 ou 2 000 personnes concernées, beaucoup travaillent dans des entreprises et basculent d'ores et déjà une partie de leur rémunération sur les dividendes. On en arrive à ce paradoxe, souligné par le rapporteur général :...
car n'oubliez pas que les prélèvements sociaux sur le travail s'élèvent à 8 % et ceux sur le capital à 15,5 %. Et quand on regarde de plus près les choses, on voit que vous êtes en train de vous casser les dents sur le problème des plus-values. Emporté dans votre élan, vous avez traité de la même manière les flux dividendes, produits d'obli...
D'ailleurs, au cours de la réunion de la commission qui s'est tenue il y a une heure au titre de l'article 88, nous n'avons toujours pas eu l'amendement sur ce point. Je pense, pour ma part, qu'une taxation à 60 % est aberrante
Monsieur le ministre, je connais votre compétence et votre sérieux, mais je ne comprends pas comment une telle mesure a pu passer les différents filtres. Elle n'aurait jamais dû atteindre le stade du conseil des ministres. D'ailleurs, la manière dont le Gouvernement a immédiatement reconnu son erreur errare humanum est, perseverare diabolicum...
Je terminerai mon intervention en évoquant un point essentiel : ce budget ne comporte aucune mesure tournée vers l'avenir. Il n'y a pas de réforme de fond. Ce qui m'a frappé, dans les deux interventions brillantes des ministres, Pierre Moscovici et Jérôme Cahuzac, c'est qu'ils n'ont abordé à aucun moment des questions de structure de réforme. ...
Nous avons trop attendu puisque nous ne l'avons fait qu'au mois de février dernier. Pour votre part, vous avez commis une erreur, au mois de juillet dernier, en supprimant tout. Si vous aviez eu le courage de nous proposer et je sais que vous y êtes favorable le maintien de l'allégement de cotisations patronales et un financement en substit...
Pendant ce temps, nos entreprises perdent des parts de marché, elles licencient. Il y a urgence, il faut agir au plus vite. Ce n'est pas le rapport Gallois qui va régler le problème. On peut vous octroyer encore quelques semaines supplémentaires de réflexion et vous donner rendez-vous dans le cadre du collectif du mois de décembre Monsieur le ...
et la troisième, c'est qu'on peut préserver les ménages les plus modestes puisqu'il suffit de jouer sur les taux concernant les produits de première nécessité. Tous les pays qui ont choisi cette voie s'en félicitent aujourd'hui. La question de la compétitivité appelle de notre part une réponse urgente, au nom de l'intérêt national. Monsieur l...
Sans même parler d'économies, augmenter les dépenses de cinq milliards en moins, c'est possible. Le second, c'est que le tout premier budget d'une législature n'a de valeur que lorsqu'il donne du sens, une perspective. Face au premier problème de notre pays, celui de la perte de compétitivité de nos entreprises, le principal défaut de ce budget...