Les amendements de Guillaume Larrivé pour ce dossier
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Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, nous avons, dans cet hémicycle comble, un devoir de vérité à l’égard des Français. La politique meure des postures et des impostures, qui sont autant de petites lâchetés.
Essayons d’en sortir pour tirer notre pays vers le haut. De quoi parlons-nous ? D’un vieux pays, le nôtre, qui a choisi, au fil du temps, de s’enfoncer dans la dépense, le déficit et la dette publique. Ouvrons les yeux : depuis bientôt quarante ans, la France a exprimé une préférence collective pour la dépense à crédit, reportée sur les générat...
…pour trouver le dernier excédent des administrations publiques, à 0,2 % du PIB – j’avais quatre ans. La dette publique ne dépassait pas, alors, 21 % de la production nationale. Elle s’approche aujourd’hui de 100 %. Si je tiens à rappeler ce chiffre vertigineux, mes chers collègues, c’est pour preuve de ma bonne foi. Ce n’est pas l’élection de ...
Mettez vraiment la France en mouvement ! Bref, cessez, définitivement, d’être socialistes ! Si vous n’y parveniez pas, la France continuerait à s’enfoncer un peu plus chaque année, pour le malheur des Français. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP)