Les amendements de Guy Geoffroy pour ce dossier

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Je vous remercie, monsieur le président, de ne pas m'avoir fait remarquer que je serais déjà intervenu, mais, s'il le fallait, je n'hésiterais pas à le faire lors d'un prochain amendement. Je souhaite dire au ministre délégué ainsi qu'aux deux rapporteurs combien je suis frappé et je ne dois pas être le seul de n'avoir entendu aucun élémen...

Je vais vous donner un exemple. Un de plus, direz-vous, mais celui-là parlera à ceux de nos collègues qui sont comme moi issus de l'enseignement. J'ai reçu en début de semaine un professeur de mathématiques, un jeune enseignant qui débute dans un collège rural. Il m'a dit : « Je viens vous voir pour deux raisons. La première, c'est que je sais ...

et qui n'étaient plus fiscalisées le seront dorénavant ? Non seulement je perdrai du pouvoir d'achat du fait de cette refiscalisation, mais, de plus, avec la modification du quotient familial que l'on nous promet, je paierai davantage d'impôts ! » (Exclamations sur les bancs des groupes SRC, écologiste, GDR et RRDP.) Je vous livre sa conclusi...

Monsieur le président, je suis confus de vous imposer, dès le début de votre présidence, un rappel au règlement sur un incident qui s'est déroulé juste avant la suspension de séance. L'un de nos collègues, à deux reprises, nominativement tout d'abord, collectivement ensuite, ce qui est peut-être encore plus grave, a mis en cause les fonctionna...

Claude Allègre et Jack Lang. À aucun moment en servant l'État et donc chacun de ces ministres, je n'ai eu le sentiment d'être complice de quoi que ce soit. J'ai été, comme tous les fonctionnaires mon collègue André Chassaigne qui fut comme moi chef d'établissement partagera mon sentiment fier de servir l'État et soucieux, quel que soit le...

Dès lors, entendre qu'un fonctionnaire, à partir du moment où il applique la politique décidée par nos concitoyens par leur vote et appliquée par des pouvoirs publics légitimes, pourrait être complice, est totalement inacceptable. Monsieur le président, j'espère qu'enfin, après cette interruption de séance, notre collègue, qui s'en est allé à ...

Dans sa fougue doctorale, notre collègue Alain Muet a commis une erreur que je qualifierai d'imprudence : il a évoqué les dispositions financées par la dette, et mis en avant les emplois générés durant le quinquennat de M. Jospin. Mais 500 000 de ces emplois, que vous aviez baptisés « emplois-jeunes », étaient en fait des emplois sans espoir qu...