…de l'État d'abord, de l'État surtout, de l'État toujours. Il n'y a pas d'ambiguïté en la matière.
Je comprends votre émotion, que peut-être nombre d'entre vous partagent. Je la partage en tout cas et c'est la raison pour laquelle j'ai souhaité prendre la parole pour vous dire ces quelques mots.
Cela étant précisé, je vous demanderai d'éviter que ce qui fut peut-être un incident pour vous – je respecte votre jugement – ne prenne des proportions qui seraient u sans mesure avec ce que fut la volonté réelle de l'un de vos collègues que vous estimez être à l'origine de cet incident.