À Flamanville, il y a le problème de la cuve, qui est évidemment un problème sérieux. Si d'aventure il ne se réglait pas, cela poserait un problème massif au projet en tant que tel. Mais en dehors de ce sujet, sans préjuger des décisions finales de l'ASN, il n'y a pas de mise en cause globale ou ponctuellement grave de la part de l'ASN, qui suit ce chantier depuis le départ.
Les propos de Charles de Courson sur l'EPR sont donc excessifs, même si les difficultés ne sont pas contestées. Je ne sais pas si ses considérations particulières sur le fonctionnement de l'autorité chinoise de sûreté nucléaire sont valables…
À Flamanville, la seule vraie question est celle de la cuve ; l'ASN travaille de manière continue et n'a pas de distance particulière à l'égard du projet.