Il faut, par ailleurs, prendre en compte le fait que Free Mobile est un opérateur arrivé sur le marché à la fin de l'année 2009 et qui, là où nos camarades ont commencé il y a vingt ans, développe son réseau depuis six ans – ce qui explique que nous disposons d'un peu moins d'antennes et de beaucoup moins de fréquences.
Même si nous n'avons pas obtenu de lots dans la bande des 800 MHz, qui pénètre le mieux les bâtiments, nous offrons un très haut niveau de qualité pour la voix, le texto ainsi que pour la navigation sur la toile, particulièrement en 4G. En revanche, il est vrai que, dans le domaine de la vidéo mobile, qui ne représente pas l'usage majoritaire, la qualité de notre prestation est plus faible.
J'observe par ailleurs, que l'ensemble de ces mesures de qualité sont réalisées sans qu'il soit tenu compte du wi-fi, alors que nos abonnés ont accès aux six millions de box comme hotspot wi-fi, et que la vidéo est plus souvent regardée sur les téléphones mobiles à domicile qu'en marchant dans la rue. Je considère, toutefois, qu'avec un flux wi-fi le résultat serait bien différent. Nous n'investissons pas moins, et nous avons acheté des lots dans la bande des 700 MHz et en avons obtenu dans celle des 1 800 MHz après « refarming » ; nous les déployons aussi rapidement que possible.
Enfin, j'observe que notre qualité de service augmente à chaque enquête de l'ARCEP ; bien entendu, notre objectif est toujours d'atteindre la première place, et soyez assuré que nous faisons tout pour accélérer le déploiement de nos réseaux.