Monsieur le président, j'ai bien écouté l'argumentation de notre collègue Axelle Lemaire et, au fond, on pourrait y adhérer car nous sommes l'assemblée de la République, des députés de la République. Sauf qu'il y a quelques semaines, à une réunion du conseil franco-britannique à laquelle je participais à Newcastle, au Royaume-Uni, et où es personnalités de différentes sensibilités politiques étaient présentes ainsi que des chefs d'entreprise et des responsables de tous horizons,…