Pas dans le texte lui-même, mais à sa suite !
Je ne veux pas être complice du développement d'un tel système. J'ai posé, à plusieurs reprises, cette question à Mme la ministre : êtes-vous d'accord pour pénaliser ceux qui introduiraient, en France, un enfant né à la suite d'une gestation pour autrui réalisée dans un pays étranger, par une pauvre fille – car telle est la réalité – qu'ils auront payée avec leur fric ? Vous n'avez pas voulu prendre d'engagement en ce sens. C'est grave !