Je comprends la volonté de transparence qui motive cet amendement, mais j'ai entendu l'ensemble des acteurs concernés. Il était excessif de parler tout à l'heure de vindicte publique, et je vous prie de m'en excuser. Mais je crois que c'est le donneur d'ordres, c'est-à-dire le patron de la centrale, qui doit être responsable, et non celui qui a négocié en son nom.