Il s'agit de fixer, à la demande de PME et d'industriels de l'agroalimentaire, la date butoir des négociations au 1er février – les conditions générales de vente étant envoyées trois mois avant – et non au 1er mars. Cette date étant plus éloignée de celle du salon de l'agriculture, elle permettrait en effet que les négociations se déroulent dans un climat moins tendu.