Nous souhaitons que les chambres de métiers demeurent le lieu unique des formations dispensées en vue de l'immatriculation au répertoire des métiers. On leur a reproché de ne pas répondre assez vite aux demandes qui leur étaient adressées ; mais elles se sont réorganisées et ont augmenté les moyens mis en oeuvre : la situation est donc bien meilleure aujourd'hui, et les chambres de métiers s'engagent à délivrer ces formations dans un délai d'un mois, ce qui paraît raisonnable.