Je vous remercie, monsieur le président, d'avoir répondu avec autant de précision et de sincérité. Je reprends le mot qu'a utilisé tout à l'heure Dominique Lefebvre : nous sommes, les uns et les autres, en pleine schizophrénie. Il faut que nous en soyons conscients.
Vos réponses sont tout à fait convaincantes, mais ce n'est pas pour autant que nous allons trouver des solutions financières rapides. Permettez-moi d'exprimer ce doute.