Une fois le cessez-le-feu obtenu, ce qui est la priorité, la France, pointant du doigt les limites de la méthode russo-américaine, propose l’instauration d’un mécanisme de surveillance collectif. Enfin nous demandons la condamnation par le Conseil de sécurité, au titre du chapitre VII, de l’usage, à nouveau, d’armes chimiques.
Mesdames et messieurs les députés, nous ne permettrons pas qu’Alep devienne le Guernica du XXIe siècle !