Madame la ministre des outre-mer, lors de la vingt-et-unième conférence des parties, la COP 21, un accord universel sans précédent a été signé, ce qui mérite d’être salué. Cet accord devrait bientôt entrer en vigueur, puisqu’une soixantaine de pays, dont les États-Unis et la Chine, l’ont ratifié, et l’Inde le fera bientôt. Dans ce contexte, vous avez demandé, dans un courrier très récent, à la Nouvelle Calédonie et à la Polynésie une contribution spécifique. Bien sûr, la Polynésie est volontaire mais elle souhaite savoir de quelle manière l’État va l’accompagner, car des budgets exceptionnels doivent être prévus pour soutenir non seulement nos politiques d’atténuation mais aussi nos politiques d’adaptation.