Monsieur le député, je partage avec vous et tous les Français le constat selon lequel la dégradation de la qualité de l’air est chaque année responsable, comme vous l’avez dit, de milliers de décès et d’un grand nombre de maladies graves, notamment respiratoires. Vous le savez, ce chiffre ne cesse d’augmenter et cette situation ne concerne pas uniquement Paris ou l’Île-de-France. On constate ce phénomène dans l’ensemble des grandes villes. Des réponses différentes sont apportées, parfois en termes de péage ou de développement des transports en commun.
Il n’est pas dans l’intention du Gouvernement de faire une différence entre les problèmes des Franciliens et ceux des Parisiens : le problème est largement partagé.